Fixés dans ou sur une gamme de gris plus ou moins doux, plus ou moins métalliques.
Ces huit photographies semblent, chacune, nous demander…
Avec ses propres mains peut-on toucher son âme ?
la modeler ?
la changer ?
Et lorsque le corps fait le dos rond, est-ce l’âme qui s’incline ?
Les mains, qui reposent, disent-elles la tranquillité (intérieure) ?
Qu’est-ce qui, dans le corps, nous aide à tenir debout ?
Entre réalisme et abstraction, dans la lumière solaire, certains paraissent presque flotter en apesanteur.
Dessinés dans le cadre, aux liserés lumineux, les nus vêtent et veloutent les âmes.